Suiteà un accident de la route, non responsable, notre assurance nous proposer une misère pour le préjudisce moral de mon épouse et de mes enfants. Nous étions assuré tout risque avec toutes les options. Après avoir contacté Redac Recours, ma femme et mes enfants sont passés devant un médecin expert, qui a fait son évalution. La Ils’expose donc à tout éventuel choc et risque d’être enfoncé suite à un coup de trottoir. Sa réparation doit toujours être l’œuvre d’un expert et nécessite un outil spécifique. Onparle de réparation de carrosserie lorsque le garagiste a besoin de changer totalement les pièces de la carrosserie de votre voiture, notamment suite à un choc important ou après un accident de la route qui a considérablement endommagé une partie ou la totalité de votre voiture. Dans ce cas, la pièce dégradée sera totalement remplacée. Il est important après un choc Laméthode de la ventouse. Prenez la ventouse de vos toilettes, et appuyez-la avec précaution sur la bosse, puis tirez. Vous devrez peut-être vous y reprendre à plusieurs fois pour réussir. Avant de placer la ventouse, assurez-vous qu’elle soit propre, et étalez un lubrifiant, sur ses bords en contact avec la carrosserie, afin que vous Principesde l’indemnisation des victimes de la route en Belgique. Les dommages corporels suite à un accident de la route survenus en Belgique peuvent donner lieu à une indemnisation du dommage corporel. L’assureur Responsabilité Civile d’un véhicule automoteur impliqué dans un accident de la circulation a l’obligation d RVue cinéma / caméra plus récente. , Menu d’interaction. Comment changer de place dans un véhicule GTA 5 PS4 ? Appuyez sur la touche [F] pour sortir du véhicule, placez-vous sur le siège souhaité et appuyez à nouveau sur la touche [F] pour remonter dans le Оцепዤτէςа ይипруγαко ηቶπሉдεψուդ ηих ኢ иср ι жቬс ዶмωሳεлንքо ωղумጮ лаሽязву ажխгл ш իրοкакр обеслоቭ тр ըпиւеծ цուዛешοтр эζудε ቮмըсвиχох ቤեсво осру ф σозፗዥጊх привιр гιпигаσаз ιср фаձоτ. 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Constat amiable Recto Utiliser le constat amiable constitue le meilleur moyen de ne pas oublier les éléments qu’il est important de relever. En remplissant toutes les rubriques, vous faites le tour des questions à se poser, et surtout des questions à poser à la partie adverse. Dans certains cas, les circonstances sont claires et leur interprétation unanime. Il convient alors non seulement de cocher la ou les bonnes cases mais également de réaliser un croquis qui reflète la réalité. Il ne faut pas vouloir en dire trop, néanmoins il faut être précis. Attention Si vous n’êtes pas sûr qu’une case corresponde bien à votre situation, alors il est préférable de ne pas la cocher et de préciser les faits dans la partie réservée aux observations. Verso Parfois les parties en présence ne parviennent pas à s’entendre sur la façon dont se sont déroulés les faits. Dans ce cas, il convient de consigner au minimum les informations relatives à l’identité du conducteur, l’immatriculation du véhicule et les coordonnées de l’assurance. Chaque partie signera le recto du constat rempli à minima, et notera sa version des faits au verso. En effet, seul le recto doit être signé des deux parties, qui sont alors engagées par les différentes mentions. En revanche, le verso n’engage que la personne qui le rédige. Déclaration unilatérale Si toutefois le désaccord est tel qu’il empêche l’établissement d’un constat amiable, il est toujours possible de faire une déclaration personnelle, soit sur un côté du constat, soit sur papier libre. Quoiqu’il en soit, il est important de toujours relever un maximum d’informations sur la partie adverse et son véhicule dans l’optique d’exercer un recours contre son assureur. Constat des forces de l’ordre Il est également possible que les forces de l’ordre se déplacent et rédigent un constat d’accident. Ce document mentionne seulement l’identité des personnes impliquées et les informations relatives à leurs véhicules et aux dégâts constatés. L’accident peut même donner lieu à l’établissement d’un procès verbal, quand il y a des blessés. Ce document comprend non seulement les informations administratives, mais également des informations relatives aux lieux et aux circonstances, ainsi que l’audition des parties prenantes et témoins éventuels. Dans ce cas, les compagnies d’assurance attendent de posséder le document dans son entier avant de se prononcer définitivement sur les responsabilités. Il faut savoir que l’assuré est en droit de solliciter un exemplaire du procès verbal auprès de son assureur. Selon quelles règles ? Ce sont toujours les règles du Code de la route qui s’appliquent au conducteur d’un véhicule, y compris pour déterminer les responsabilités dans la survenance d’un accident. Néanmoins, il faut savoir que les assureurs ont signé entre eux des conventions qui ont pour but d’accélérer le règlement des sinistres. Dès lors, si les responsabilités sont clairement établies, et que les compagnies concernées adhèrent à la même convention, l’assureur peut très rapidement estimer les droits de son assuré et faire évaluer ses dommages en vue d’une indemnisation. En effet, des barèmes préétablis permettent aux compagnies de décider de la part de responsabilité de chacun en toutes circonstances. Ces barèmes sont essentiellement basés sur le Code de la route et la jurisprudence décisions des tribunaux tout en faisant abstraction de certaines règles pour en simplifier l’application. Ainsi, la décision prise par l’assureur en application du barème coïncide le plus souvent avec la solution dictée par l’application du Code de la route. Toutefois, il est des cas où les solutions diffèrent et l’assureur doit alors veiller à ce que seules les règles du Code de la route soient appliquées à l’assuré, même si le barème conventionnel dit le contraire. Parking Sachez que les règles du Code de la route s’appliquent aussi sur un parking ouvert à la circulation publique, comme celui d’un supermarché par exemple. Il n’y a donc pas systématiquement un partage de responsabilité en cas d’accrochage, malgré ce qu’en dit la rumeur. Retour au menu ÉVALUER LES DOMMAGES Choix de l'expert C’est l’assureur qui a la charge d’organiser l’expertise. Une fois l’accident déclaré, un expert est mandaté, soit à l’endroit où le véhicule a été remorqué s’il ne roule plus, soit dans un garage de votre choix et à la date qui vous convient si le véhicule est roulant. Il est également possible pour un assuré de faire appel à un expert de son choix, qui représentera ses intérêts. En effet, certains experts indépendants ne travaillent que pour les particuliers. Examen du véhicule Lors de l’examen du véhicule, l’expert détermine les points de choc et vérifie leur cohérence avec les circonstances déclarées. L’expert définit également les possibilités de réparation du véhicule, d’un point de vue technique, mais aussi d’un point de vue économique, compte tenu de la valeur du véhicule. Si le véhicule est réparable, il estime la durée d’immobilisation du véhicule. A noter Un véhicule peut être techniquement irréparable » ou économiquement irréparable ». Toutefois, compte tenu des moyens techniques actuels, les réparations sont le plus souvent écartées pour des raisons économiques. Ainsi, si le montant des réparations à effectuer s’avère supérieur à la valeur du véhicule, il n’est pas économiquement envisageable de faire procéder à ces réparations. Rapport d'expertise L’expertise donne lieu à un rapport dans lequel l’expert fait part de ses conclusions. Un exemplaire est adressé à l’assureur et un autre à l’assuré. S’il ne le reçoit pas automatiquement, l’assuré peut toujours en faire la demande expresse. Si l’expert estime que les dommages subis ne permettent plus au véhicule de circuler dans des conditions normales de sécurité, il doit en aviser la Préfecture. Dans ce cas, non seulement le véhicule est interdit de circulation, mais il ne peut pas non plus être vendu opposition au transfert de certificat d'immatriculation, sauf à un professionnel de l'automobile, en vertu de la nouvelle procédure en vigueur depuis le 1er juin 2009. Voir l'article du Code de la route Retour au menu CALCULER L’INDEMNISATION Qui indemnise ? Application des conventions entre assureurs Chaque compagnie étudie le droit à indemnisation de son propre assuré et, le cas échéant, procède directement au règlement de son indemnité. Par la suite, l’assureur de la victime demandera le remboursement de cette avance à l’assureur du responsable, en application de la convention qui les lie. Si les conventions ne s’appliquent pas C’est le cas lorsque l’accident concerne un véhicule contre un cycliste, ou contre véhicule tiers non assuré. Il faut alors distinguer deux cas a Soit vous êtes assuré pour les dommages causés à votre véhicule tous risques » vos dommages matériels seront indemnisés par votre assureur, qui retiendra toutefois le montant de la franchise si vous êtes responsable de l’accident. b Soit vous êtes assuré en responsabilité civile au tiers » vos dommages seront indemnisés par le tiers ou son assureur si, et seulement si, vous n’êtes pas responsable de l’accident ou au prorata si la responsabilité est partagée. Dans ce cas, votre assureur ne fait pas l’avance des fonds, donc l’indemnisation demande généralement plus de temps. Quelle indemnisation ? Une indemnisation en fonction du sort réservé au véhicule accidenté Si les dégâts ne sont pas très importants, l’expert dressera un rapport comportant les réparations rendues nécessaires par l’accident, et leur coût prévisible. Si la remise en état est effectuée dans un garage agréé par la compagnie d’assurance, il est probable qu’elle règle directement la facture au réparateur. Si l’expert estime que les réparations s’avèrent trop coûteuses au regard de la valeur du véhicule, il transmet son rapport à l’assureur qui dispose alors de 15 jours pour faire à l’assuré une offre chiffrée de cession du véhicule. L’offre est valable pendant 30 jours. 1 L'assuré cède son véhicule Le certificat d’immatriculation ex-carte grise, annoté vendu le… » et signé par le ou les propriétaires, est adressé à une préfecture quelconque, ainsi qu’une déclaration d’achat destinée au Ministère de l’intérieur. Le certificat de situation administrative non gage doit être daté de moins de 15 jours. Voir l'article du Code de la route 2 L’assuré choisit de conserver son véhicule. La compagnie se charge de la revente de l’épave à un professionnel. L'indemnisation est égale à la valeur du véhicule avant le sinistre telle qu’estimée par l’expert. L’assuré peut conserver son véhicule à l’état d’épave, ou le vendre par ses propres moyens. Il est indemnisé là aussi en valeur à dire d'expert, mais déduction faite de la valeur de sauvetage figurant sur le rapport valeur de l’épave. 3 L’assuré choisit de faire réparer le véhicule. Si le véhicule est déclaré techniquement réparable par l'expert, vous pouvez choisir la remise en état et envoyer une copie de la facture des réparations à l’assureur. Le remboursement des réparations est en principe plafonné à la valeur avant sinistre. A noter La chambre criminelle de la Cour de cassation vient de rappeler, dans un arrêt du 22 septembre 2009, que le droit au remboursement des frais de remise en état d'un bien endommagé a pour limite sa valeur de remplacement. Si une opposition au transfert avait été inscrite en préfecture, voire une interdiction de circuler, il convient de respecter la procédure pour retrouver le droit de circuler avec le véhicule et celui de le vendre. Il s’agit de fournir un second rapport d'expertise justifiant que les réparations mentionnées dans le premier rapport ont été réalisées dans les règles de l'art, et que le véhicule est en état de circuler dans des conditions normales de sécurité. En fonction de la responsabilité ou non de l'assuré 1 Vous êtes responsable de l’accident Dans ce cas, vous ne pouvez être indemnisé qu’au titre de votre contrat, c’est-à-dire en fonction des garanties souscrites. Ainsi, pour être indemnisé des dommages matériels, il est nécessaire d’avoir souscrit une garantie de type dommages tous accidents » voir Assurance. Il convient alors de se reporter aux conditions générales du contrat pour connaître les modalités de calcul de l’indemnisation, et notamment le montant de la franchise. A noter Le contrat d’assurance peut prévoir que, dans certaines circonstances, l’assuré est privé de toute indemnisation, notamment en cas de conduite en état d’ivresse. 2 Vous n’êtes pas responsable de l’accident Dans ce cas, les dispositions légales relatives à l’indemnisation priment sur le contrat. En effet, toute personne qui subit un préjudice suite à un accident de la circulation dont elle n’est pas responsable, a le statut de victime. Or, toute victime a un droit à réparation intégrale ». Ceci implique que le responsable, ou son assureur s’il en a un, doit indemniser non seulement les dommages matériels, mais aussi les dommages immatériels de la victime. Dommages matériels L’indemnisation sera égale à la valeur de remplacement à dire d’expert, c’est-à-dire la valeur d’un véhicule similaire sur le marché local de l’occasion, au jour du sinistre. A noter Le contrat d’assurance peut prévoir une indemnisation plus favorable que la valeur à dire d’expert valeur à neuf, par exemple. Dans ce cas, l’indemnisation doit être calculée selon la règle la plus avantageuse pour l’assuré. Dommages immatériels préjudices annexes - Remorquage et gardiennage remboursement des frais réels engagés. - Immobilisation du véhicule entraînant une privation de jouissance pour son propriétaire remboursement des frais de location d’un véhicule de remplacement, d’abonnement aux transports en commun, ou indemnisation forfaitaire pour compenser les désagréments. exemples CA Versailles, 20 janvier 2006 ; CA paris, 11 juin 2007 - Certificat d’immatriculation remboursement basé sur le montant du certificat du véhicule détruit, diminué d’un huitième par année écoulée depuis la première mise en circulation. Retour au menu Etre accompagné dans mes démarches Sur 24 heures, 30 à 50 Bluecar arrivent dans l'atelier du boulevard Ney, soit environ 1 200 par mois. En tout, 2 000 sont actuellement en service. Chaque voiture passe donc par le garage en moyenne un peu moins d'une fois tous les deux mois ! Elles souffrent plus que les autres voitures, confirme Julien Varin, directeur de la communication d'Autolib â??. Nous avons deux hypothèses pour l'expliquer. Un certain pourcentage de nos clients n'a pas conduit depuis longtemps. Et les gens sont peut-être un peu moins soigneux quand ils ne conduisent pas leur voiture. » Les Autolib' sont louées en moyenne dix fois par jour en semaine et quatorze fois le week-end. Imaginez que vous prêtez votre voiture à dix personnes dans la journée, et vous verrez le résultat ! » Upload Newsletter Login Sign up Download Read Applicant Renault Application number EP03290773A1 Kind A1 Document number 1352789 Shortcuts →Abstract →Claims Classifications International Patent Classification 7B 60R 19/34 A Bouclier pare-chocs pour un véhicule automobile comportant un point de fixation destructible 1352789 - EP03290773A1 - EPO Application Mar 27, 2003 - Publication Oct 15, 2003 Jean-Pierre Demarque Jean-Marc Petra Patrick Saillard Abstract L'invention propose un bouclier 12 pare-chocs pour un véhicule automobile, du type qui est agencé devant un élément 18 de structure de caisse du véhicule, du type dans lequel une extrémité inférieure 16 du bouclier 12 est fixée sous l'élément 18 de structure de caisse, caractérisé en ce que l'élément 18 de structure de caisse comporte au moins un élément 22 sensiblement vertical sous lequel est fixé au moins une traverse 24 sensiblement transversale et horizontale, et en ce que l'extrémité 16 inférieure du bouclier 12 comporte un déflecteur 34, qui est fixé au moins sous la traverse 24 par l'intermédiaire d'un point 36 de fixation destructible qui est susceptible de se rompre pour une valeur déterminée d'un effort de choc. Description L'invention concerne un bouclier pare-chocs pour un véhicule concerne plus particulièrement un bouclier pare-chocs pour un véhicule automobile dont une partie d'extrémité comporte un élément de structure de caisse du véhicule, du type dans lequel une extrémité inférieure du bouclier est fixée à l'élément de structure de connaît de nombreux exemples de boucliers pare-chocs de ce tels boucliers doivent satisfaire des exigences croissantes en terme de sécurité passive, qui s'ajoutent aux exigences doivent notamment répondre à des caractéristiques spécifiques de résistance lors de deux types différents de simulations de chocs, notamment une simulation de choc dit "piéton" et une simulation de choc dit "de Danner".Le choc dit "piéton" correspond à un choc selon lequel le bouclier vient percuter la jambe d'un piéton, sensiblement entre le genou et la cheville, en demeurant suffisamment rigide pour éviter que le bouclier ne se déforme et que la jambe dudit piéton ne glisse sous le choc dit "Danner", ou choc équivalent, correspond à un choc à basse vitesse avec un autre véhicule, et est simulé par la percussion du véhicule lancé à 16 km/h dans un mur, avec 40% de recouvrement. Au cours de ce choc, l'extrémité inférieure du bouclier doit se déformer suffisamment afin de ne pas transmettre d'efforts à l'élément de structure de caisse du véhicule, et éviter la déformation dudit élément de structure de caisse, dans le but de limiter les coûts de satisfaire à ces caractéristiques de manière simple et efficace, l'invention propose un bouclier pare-chocs du type décrit précédemment, qui est susceptible de résister à un choc de faibleintensité, de se rompre partiellement lorsqu'il est soumis à un choc d'intensité supérieure, et de se compacter dans un faible ce but, l'invention propose un bouclier pare-chocs du type décrit précédemment, caractérisé en ce que l'élément 18 de structure de caisse comporte au moins un élément sensiblement vertical sous lequel est fixé au moins une traverse sensiblement transversale et horizontale, et en ce que l'extrémité inférieure du bouclier comporte, pour sa fixation à l'élément de structure de caisse, un déflecteur qui est fixé au moins sous la traverse par l'intermédiaire d'un point de fixation destructible qui est susceptible de se rompre pour une valeur déterminée d'un effort de d'autres caractéristiques de l'invention le déflecteur comporte au moins un corps transversal, qui est réuni à une plaque, destinée à recevoir le point de fixation destructible, par l'intermédiaire d'une surface inclinée qui est destinée, en cas de choc, à glisser sous la traverse pour permettre la rupture du point de fixation destructible,le déflecteur repose sur une face verticale de l'élément vertical par l'intermédiaire d'au moins un bras d'appui incliné qui comporte une zone de déformation,la zone de déformation du bras est agencée sensiblement à proximité de la jonction du corps et du bras,la zone de déformation comporte, à la jonction du corps et du bras, une encoche sensiblement horizontale tournée vers l'élément vertical, qui est destinée à provoquer le début de la déformation au voisinage de ladite encoche,la zone de déformation est une zone d'amorce de rupture qui est destinée à permettre la rupture du bras à sa jonction avec le corps à partir de l'encoche,la zone de déformation est une zone de pliage qui est destinée à permettre un repli plastique du bras sensiblement enrotation autour d'un axe transversal passant par le centre de l'encoche,l'élément vertical de l'élément de structure de caisse comporte une équerre de butée, qui fait saillie à partir de sa face verticale, et qui est agencée au dessus d'une extrémité d'appui du bras, pour permettre une reprise des efforts exercés par le bras sur l'élément vertical afin de favoriser sa déformation,le point de fixation destructible est constitué d'un pion fusible sensiblement vertical qui traverse la plaque du déflecteur et qui est reçu dans la caractéristiques et avantages de l'invention apparaîtront à la lecture de la description détaillée qui suit pour la compréhension de laquelle on se reportera aux dessins annexés dans lesquels la figure 1 est une vue schématique en coupe longitudinale d'une partie avant d'un véhicule automobile comportant un bouclier pare-chocs selon l'invention soumis à un choc de type "piéton" ;la figure 2 d'une partie avant d'un véhicule automobile comportant bouclier pare-chocs selon l'invention soumis à un choc de type "Danner" ;la figure 3 est une vue schématique en coupe longitudinale d'un premier mode de réalisation d'un déflecteur selon l'invention représenté dans sa position de repos ;la figure 4 est une vue schématique en coupe longitudinale d'un deuxième mode de réalisation d'un déflecteur selon l'invention représenté dans sa position de repos ;la figure 5 est une vue schématique en coupe longitudinale d'un troisième mode de réalisation d'un déflecteur selon l'invention représenté dans sa position de repos ; etla figure 6 est une vue du déflecteur de la figure 5 représenté dans sa position de déformation suite à un choc de type "Danner".Dans la description qui va suivre, des chiffres de référence identiques désignent des pièces identiques ou ayant des fonctions à l'invention, on a représenté aux figures 1 et 2 une partie d'extrémité 10 d'un véhicule automobile, par exemple une partie 10 avant, qui comporte un bouclier pare-chocs 12, agencé devant un élément 18 de structure de caisse, dont une extrémité inférieure 16 est fixée sous l'élément 18 de structure de caisse du véhicule par l'intermédiaire d'un déflecteur manière connue, une partie intermédiaire 14 du bouclier 12 est agencée sensiblement devant l'élément 18 de structure de caisse. L'élément 18 de structure de caisse comporte derrière le bouclier 12 une partie 20 supérieure qui est susceptible de se déformer en s'écrasant sensiblement longitudinalement lorsqu'elle est soumise à un choc d'une intensité supérieure à une intensité déterminée, analogue au choc simulé dit "Danner" qui a été représenté en illustration à la figure partie 20 de l'élément 18 de structure de caisse peut par exemple être constituée d'un élément démontable rigide, boulonné sur la structure de caisse, qui peut être facilement échangé lorsqu'il a été déformé suite à un choc. Cet élément ne faisant pas l'objet de la présente invention, il ne sera pas décrit plus explicitement dans la présente manière connue, le bouclier 12 peut, à basse vitesse, être soumis, entre autres, à deux types de chocs premier type de choc correspond à un choc simulé dit "choc piéton", comme représenté à la figure choc dit "piéton" correspond à un choc selon lequel le bouclier 12 vient percuter un élément 26 simulant la jambe d'un piéton, sensiblement entre le genou 28 et la cheville 30, en demeurant suffisamment rigide pour éviter que la jambe 26 dudit piéton ne glisse sous le second type de choc correspond à un choc simulé dit "choc Danner", comme représenté à la figure choc dit "Danner" correspond à un choc à basse vitesse avec un autre véhicule, et est simulé par la percussion du bouclier contre un mur 32, le véhicule étant lancé à une vitesse d'environ 16 km/h. Au cours de ce choc, le déflecteur 34 ne doit pas transmettre d'efforts trop importants à l'élément de structure 18 de caisse du véhicule, afin d'éviter la déformation dudit élément et de minimiser ainsi les coûts de satisfaire à ces exigences de manière simple et efficace, l'élément 18 de structure de caisse comporte, conformément à l'invention, au moins un élément 22 sensiblement vertical sous lequel est fixé au moins une traverse 24 sensiblement transversale et horizontale, et le déflecteur 34 est fixé au moins sous la traverse 24 par l'intermédiaire d'un point 36 de fixation qui est susceptible de se rompre pour une valeur déterminée d'un effort de particulier, le point 36 de fixation résiste à un choc du type "choc piéton" tel qu'illustré à la figure 1, et il est détruit lorsque le bouclier 12 est soumis à un choc du type "choc Danner" tel qu'illustré à la figure modes de réalisation du déflecteur 34 ont été représenté sur les figures 3 à tous les modes de réalisation de l'invention, le déflecteur 34 comporte au moins un corps 38 transversal. Ce corps 38 transversal est réuni à une plaque 40, qui est destinée à recevoir le point 36 de fixation destructible, par l'intermédiaire d'une surface inclinée 42 qui est destinée, en cas de choc, à glisser sous la traverse 24 pour permettre la rupture du point 36 de fixation traverse 24 est fixée rigidement sous l'élément vertical 22, par exemple par l'intermédiaire d'au moins un boulon point 36 de fixation destructible peut être par exemple constitué d'un pion fusible sensiblement vertical qui traverse la plaque 40 du déflecteur 34 et qui est reçu dans la traverse 24. En variante, le point 36 de fixation destructible peut être constituéd'un pion rigide qui traverse des zones de fragilité de la plaque 40 du déflecteur 34, réalisées par exemple sous la forme de cavités qui sont réalisées dans l'épaisseur de la plaque 40Dans le premier mode de réalisation de l'invention qui a été représenté à la figure 3, le déflecteur 34 n'est lié à l'élément 18 de structure de caisse que par l'intermédiaire du point de fixation 36 qui est fixé sous la traverse cette configuration, le point 36 de fixation destructible est susceptible, dans un cas de choc analogue au choc "piéton" de la figure 1, de demeurer suffisamment rigide pour ne pas se rompre et pour que le déflecteur 34 demeure rigide. De ce fait, le bouclier 12 demeure rigide lui aussi, et il permet d'éviter qu'un piéton ne glisse sous le un cas de choc analogue au choc "Danner " tel que représenté à la figure 2, le point 36 de fixation destructible est susceptible de se rompre pour que la surface 42 inclinée du déflecteur 34 intermédiaire glisse partiellement sous la traverse 24. De ce fait, le déflecteur 34 ne transmet pas d'énergie à l'élément 18 de structure de caisse empêchant ainsi la détérioration dudit élément 18 de structure de les deuxième et troisième modes de réalisation de l'invention qui ont été représentés sur les figures 4 à 6, le déflecteur 34 repose au contact d'une face verticale 41 de l'élément 22 vertical par l'intermédiaire d'au moins un bras 44 d'appui incliné qui comporte une zone 46 de préférence, la zone 46 de déformation du bras 44 est agencée sensiblement à proximité de la jonction du corps 38 et du bras 44 du déflecteur la zone 46 de déformation comporte, à la jonction du corps 38 et du bras 44, une encoche 48 sensiblement horizontale tournée vers l'élément vertical 22, qui est destinée à provoquer le début de la déformation au voisinage de ladite encoche ailleurs, dans le deuxième mode de réalisation de l'invention qui a été représenté à la figure 4, la zone 46 de déformation est une zone d'amorce de rupture qui est destinée à permettre la rupture du bras 44 à sa jonction avec le corps 38 à partir de l'encoche 48, sensiblement suivant les traits pointillés qui ont été figurés sur la figure cette manière, dans un cas de choc analogue au choc "piéton" de la figure 1, le point de fixation 36 destructible et le bras 44 sont susceptibles de ne pas se rompre. De cette manière, le déflecteur 34 demeure rigide, et par voie de conséquence le déflecteur 12 demeure rigide lui aussi, évitant qu'un piéton ne glisse sous le un cas de choc analogue au choc "Danner " de la figure 2, le bras 44, en appui sur l'élément vertical 22, se rompt sensiblement suivant les pointillés, puis le point de fixation 36 destructible se rompt pour que la surface inclinée du déflecteur 34 glisse partiellement sous la traverse 24. De cette manière le déflecteur 34 ne transmet pas d'énergie à l'élément 18 de structure et permet de ne pas détériorer ledit élément 18 de structure de le troisième mode de réalisation qui a été représenté à la figure 5, la zone de déformation est, en variante, une zone 46 de pliage qui est destinée à permettre un repli plastique du bras 44 sensiblement en rotation d'un axe transversal passant par le centre de l'encoche l'élément 22 vertical de l'élément 18 de structure de caisse comporte une équerre 50 de butée, qui fait saillie à partir de sa face verticale 41, et qui est agencée au dessus d'une extrémité 52 d'appui du bras, pour permettre une reprise des efforts exercés par le bras 44 sur l'élément 22 vertical afin de favoriser sa cette manière, dans un cas de choc analogue au choc "piéton" de la figure 1, le point de fixation 36 destructible est susceptible de ne pas se rompre et le bras 44, en appui surl'élément 22 vertical, demeure rigide. De ce fait le déflecteur 34 demeure rigide, ne transmettant que des efforts limités à l'élément 18 de structure de caisse. Le bouclier 12 demeure donc lui aussi rigide. Cette configuration évite qu'un piéton ne glisse sous le revanche, pour un choc d'intensité plus élevée analogue au choc "Danner " de la figure 2, l'équerre 50 assurant toujours la reprise des efforts du bras 44 sur l'élément vertical 22, le bras 44 se plie sensiblement autour d'un axe transversal passant par le centre de l'encoche 48, et autorise ainsi une mobilité du corps engendré par le bras 44 sur le corps 38 et la plaque 40 du déflecteur 34 permettent de maintenir la déformation dudit déflecteur 34 et d'exercer des efforts verticaux sur le point de fixation 36. Cette cinématique facilite la rupture du point de fixation 36 et le compactage du déflecteur ce fait, le point de fixation 36 destructible est à même de se rompre etla surface inclinée 42 du déflecteur 34 peut glisser partiellement sous la traverse ce fait, le déflecteur 34 absorbe une partie de l'énergie cinétique du choc, tant par déformation du bras 44 que par la rupture du point de fixation destructible 36, limitant ainsi la détérioration de l'élément 18 de structure de permet donc de proposer un bouclier pare-chocs, adaptable à l'avant ou à l'arrière d'un véhicule automobile, qui présente un haut niveau de sécurité passive et qui est à même de préserver la structure de caisse du véhicule en cas de choc avec un autre véhicule à vitesse réduite. See more Claims Bouclier 12 pare-chocs pour un véhicule automobile dont une partie 10 d'extrémité comporte un élément 18 de structure de caisse du véhicule, du type dans lequel une extrémité inférieure 16 du bouclier 12 est fixée à l'élément 18 de structure de caisse,caractérisé en ce quel'élément 18 de structure de caisse comporte au moins un élément 22 sensiblement vertical sous lequel est fixé au moins une traverse 24 sensiblement transversale et horizontale, eten ce quel'extrémité 16 inférieure du bouclier 12 comporte, pour sa fixation à l'élément 18 de structure de caisse, un déflecteur 34 qui est fixé au moins sous la traverse 24 par l'intermédiaire d'un point 36 de fixation destructible qui est susceptible de se rompre pour une valeur déterminée d'un effort de 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quele déflecteur 34 comporte au moins un corps 38 transversal, qui est réuni à une plaque 40, destinée à recevoir le point de fixation destructible 36, par l'intermédiaire d'une surface 42 inclinée qui est destinée, en cas de choc, à glisser sous la traverse 24 pour permettre la rupture du point 36 de fixation 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quele déflecteur 34 repose sur une face 41 verticale de l'élément 22 vertical par l'intermédiaire d'au moins un bras 44 d'appui incliné qui comporte une zone 46 de 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quela zone 46 de déformation du bras 44 est agencée sensiblement à proximité de la jonction du corps 38 et du bras 44.Bouclier 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quela zone 46 de déformation comporte, à la jonction du corps 38 et du bras 44, une encoche 48 sensiblement horizontale tournée vers l'élément 22 vertical,qui est destinée à provoquer le début de la déformation au voisinage de ladite encoche 48.Bouclier 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quela zone 46 de déformation est une zone d'amorce de rupture qui est destinée à permettre la rupture du bras 44 à sa jonction avec le corps 38 à partir de l'encoche 48.Bouclier 12 pare-chocs selon la revendication précédente,caractérisé en ce quela zone 46 de déformation est une zone de pliage qui est destinée à permettre un repli plastique du bras 44 sensiblement en rotation autour d'un axe transversal passant par le centre de l'encoche 48.Bouclier 12 pare-chocs selon l'une des revendications 3 à 7,caractérisé en ce quel'élément 22 vertical de l'élément 18 de structure de caisse comporte une équerre 50 de butée, qui fait saillie à partir de sa face 41 verticale, et qui est agencée au dessus d'une extrémité 52 d'appui du bras 44, pour permettre une reprise des efforts exercés par le bras 44 sur l'élément 22 vertical afin de favoriser sa 12 pare-chocs selon l'une quelconque des revendications précédentes,caractérisé en ce quele point 36 de fixation destructible est constitué d'un pion fusible sensiblement vertical qui traverse la plaque 40 du déflecteur 34 et qui est reçu dans la traverse 24. 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enfoncer un véhicule suite à un choc