EdmondRostand n’a que 50 ans lorsqu’il décède le 2 décembre 1918 des suites de la grippe espagnole. Edmond Rostand a été influencé de manière créative par sa femme. À la toute fin des années 1880, l’auteur noue une relation étroite avec Rosemonde Gérard, qu’il épousera plus tard en 1890. Rosemonde Gérard laissera une
RosemondeGérard, était l'épouse d' Edmond Rostand, elle n'a pas connu la célébrité et pourtant ses écrits sont très beaux, elle mérite d'être connu pour elle-même pour son écriture très personnelle. la gloire de son mari a éclipsé sa propre réputation Tableau de Jacky.chevaux - site : CHANSON LORSQUE TU
Définitionet Explications - Jean Edmond Cyrus Rostand, né le 30 octobre 1894 à Paris 17e et mort le 4 septembre 1977 à Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) où il est inhumé, est un écrivain, biologiste, historien des sciences et académicien français.
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Lepoète des débuts Edmond Rostand. Il épouse la poétesse Rosemonde Gérard avec qui il aura deux enfants, Maurice et Jean. En 1890, il publie à compte d'auteur Les Musardises, poèmes subtils et inventifs dont l’expression annonce le génie créatif d’Edmond Rostand (→ poésie).Comparé à Alfred de Musset et à Victor Hugo, références majeures de la littérature du
LouiseRose-Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard. Femme de lettres française, poètesse et épouse d'Edmond Rostand. Elle était la mère du biologiste Jean Rostand et de l'écrivain Maurice Rostand. Elle était la petite-fille du maréchal Gérard. Son parrain fut Lecomte de Lisle et son tuteur Alexandre Dumas fils. Son premier recueil poètique Les Pipeaux (1889) la fit
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Cent ans après sa mort, découvrons comment cet homme fragile a réussi à surmonter son mal de vivre pour illuminer de son originalité la Belle Époque. Lever de rideau Il était ce qu’il est, en somme, aujourd’hui plutôt silencieux et concentré », expliqua plus tard madame Rostand de son fils aîné sur lequel elle n'a cessé de veiller avec attention. Pour ses parents, voir grandir le petit Eddy né en 1868 dans une maison du sud de la Canebière est un bonheur de chaque jour. Son père Eugène, administrateur à la Caisse d'Épargne des Bouches-du-Rhône et poète à ses heures, a de l'ambition pour ce garçon qui ne doit pas détonner au milieu des puissantes familles marseillaises de son entourage. Le parcours semble tout tracé baccalauréat en Sorbonne puis diplomatie. Mais le jeune homme n'a de goût que pour les vers et passe son temps libre au théâtre en attendant cette gloire qui ne va pas manquer de l'appeler. Pour patienter, il peut compter sur Louise-Rose Gérard, jeune fille de la meilleure société qui préfère se faire appeler Rosemonde et qui, comme lui, aime à taquiner l'alexandrin. Ce couple de rêveurs mièvres », comme il aime à définir le duo qu'il forme avec sa fiancée, est prêt à conquérir Paris et le monde du théâtre. Sa première pièce, un vaudeville poussif, Le Gant rouge 1888, est un four salué par un cruel N'insistons pas ! » dans Le Figaro. Pourtant, ils insistent ce sera Les Musardises 1890 pour lui et Les Pipeaux 1889 pour elle, avec un prix de l'Académie française à la clé. En 1890, c'est le mariage suivi de la naissance de Maurice l'année suivante, puis de Jean quatre ans après. Reste à Edmond à acquérir la notoriété tant souhaitée. Ne pas l'aimer, c'était impossible ! Sacha Guitry se souvient ici de la surprise qu'il a ressentie lors de sa première rencontre avec Edmond Rostand. Je le voyais pour la première fois et ma surprise fut très grande. Pourtant, je savais bien qu'il était chauve, qu'il portait un monocle, une cravate qui faisait deux fois le tour de son cou et de petites moustaches dont les pointes étaient relevées - et même j'aurais pu dessiner son profil de mémoire tant ses portraits et ses caricatures avaient été reproduits depuis deux ans, depuis la première de venait donc ma surprise ? [...] bien plus que son étonnante cravate, l'homme du jour, le poète que l'on comparait à Hugo, celui que déjà guettait l'Académie, Edmond Rostand était un jeune charme physique était irrésistible. Il n'était pas beau il était joli. Petit, très mince et très fragile, il attirait. Tout ce que ses œuvres contenaient de force et de santé, il paraissait s'en être dépouillé pour pas l'aimer en le voyant, c'était presque impossible bien qu'il ne fût pas exempt d'un certain ridicule, qui n'était dû qu'à son excessive élégance. Trop de recherches dans son costume et pas assez de trouvailles. En vérité il n'était ni à la page ni à l'heure. Il se mettait en redingote le matin, en jaquette le soir et il portait des cols dont la forme datait de plus de dix années » Sacha Guitry, À Bâtons rompus, 1981. Sous l'aile de la Divine Ce n'est pas si facile d’inscrire son nom à la suite de Racine et Hugo la pièce suivante de Rostand, Les Deux Pierrots, est refusée par le doyen de la Comédie-Française sous prétexte… qu'il a trop de Pierrots ! ». Les portes de l'auguste institution s'ouvrent finalement en 1894 pour la comédie Les Romanesques qui rencontre un vrai succès auprès des critiques. À 26 ans, Paris s'offre enfin à lui ! À l'heure où le pays se déchire autour de l'affaire Dreyfus, Rostand n'a qu'un seul soucis qui va jouer sa Mélissinde, la Princesse lointaine 1895 médiévale dont est tombé amoureux le troubadour Joffroy Rudel ? Pour cette mauvaise aux yeux puissants », un nom s'impose Sarah Bernhardt. Vedette absolue de l'époque, la Divine » prend les choses en main, engage Lucien Guitry, supervise les somptueux décors installés dans son propre théâtre de la Renaissance et fait appel à un jeune artiste tchèque, Alfred Mucha, pour réaliser l'affiche du spectacle. Cette collaboration, qui aurait dû faire des étincelles, ne peut rien face à l'ennui du public qui se contente d'admirer les rubis censés couvrir la scène. Échec critique et financier, la pièce est cependant une étape capitale dans la carrière de Rostand qui trouve auprès de sa Très Grande » une alliée de poids qui va lui ouvrir bien des portes. On commence à se presser dans le salon de Rosemonde mais Jules Renard remarque bien que l'âme charmante et trouble » de son ami est en peine. La tristesse est en effet de plus en plus présente chez l'écrivain, la tentation de l'abandon de plus en plus forte. C'est de nouveau Sarah, sa reine de l'attitude et princesse des gestes » qui vient à son secours en l'obligeant à signer une nouvelle pièce à sa gloire, La Samaritaine 1897. C'est un succès mais Rostand a déjà la tête ailleurs J'aime bien mieux Cyrano de Bergerac que je suis en train d'écrire » avoue-t-il à Renard. Le nez de la gloire Ce Cyrano n'est pas un étranger pour Rostand qui l'a découvert au lycée, lors de ses études sous la surveillance de Pif-Luisant, le pion. Il connaît tout de cet auteur du XVIIe siècle, philosophe parisien adroit de la plume et de l'épée, blessé au siège d'Arras et mort d'avoir reçu un bout de bois sur le crâne. Beau sujet d'inspiration ! Rostand en fait un Gascon au nez interminable et à la langue bien pendue, poète à ses heures et amoureux fou de sa cousine. De l'humour, de l'action, des sentiments... Rajoutez un balcon et un quiproquo, quelques vers admirables et la recette est parfaite ! Pourtant le dramaturge n'y croit pas Pardon, oh ! pardonnez-moi, mon ami, de vous avoir entraîné dans cette désastreuse aventure » implore-t-il le soir de la première 1897 en allant voir Coquelin. Le comédien vedette, qui n'a cessé de l'encourager, n'a de son côté aucun doute son pays qui pleure encore la défaite de Sedan va adorer le héros enfantin mais brave. Comment ne pas céder au charme de ce grand frère bienveillant à l'oblongue capsule » et au grand cœur qui cache derrière son sourire ses blessures et humiliations ?... Publié ou mis à jour le 2020-07-07 130502
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Rosemonde GÉRARD ROSTAND Louise-Rose-Étiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard ROSTAND, poétesse française, est née le 5 avril 1866 à Paris où elle est morte le 5 juillet 1953. Elle est la petite-fille du comte Étienne Maurice Gérard, héros de Wagram. Son parrain est le poète Leconte de Lisle et son tuteur Alexandre Dumas. Dodette était son surnom familier. Son prénom de scène, Rosemonde, lui vient de sa grand-mère, Rosemonde de Valence, fille du comte de Valence et épouse du maréchal Gérard. Dans son ascendance, elle comptait aussi la célèbre Mme de Genlis. Son père était le comte Gérard, fils du maréchal. Orpheline de père, elle avait dans son conseil de famille Alexandre Dumas et Leconte de Lisle. Rosemonde Gérard avait signé de son vrai nom Les Pipeaux », parus en 1889. Le 8 avril 1890, Edmond Rostand épouse Rosemonde Gérard à Paris en l’église Saint-Augustin. Cette dernière, qui demeurait alors avec sa mère, 107, boulevard Malesherbes a pour témoin Jules Massenet. Le jeune ménage vient tout d’abord habiter 107, boulevard Malesherbes et peu après 2, rue Fortuny. C’est là qu’allaient naître Maurice Rostand, puis Jean Rostand. En 1897, les Rostand achetent, 29, rue Alphonse de Neuville, un petit hôtel qu’ils abandonnent en 1900 pour se fixer à Cambo-les-Bains. A côté des Musardises », et pour les mieux comprendre, il faut placer Les Pipeaux », publiés un an plus tôt 1889. Ce sont les accents mélangés de deux jeunes poètes sentimentaux, qui sont un peu précieux l’un et l’autre et qui raffinent » sur le double sentiment de la nature et de l’amour, avec une technique aussi savante chez l’un que chez l’autre, car Rosemonde Gérard écrit avec autant de virtuosité que son mari les poèmes à forme fixe, sonnets, triolets et rondeaux. Elle fut avec bonheur l’âme d’une jeunesse chantante, donnant confiance à Edmond Rostand et rivalisant avec lui dans le dessein de l’encourager. Pour se convaincre de son rôle bénéfique, il suffit d’ouvrir ces légers Pipeaux » et de les feuilleter quelques instants. La nature y est tout entière présente. Un grand nombre de ces poèmes ont été mis en musique, par Emmanuel Chabrier notamment. Sans ambition personnelle, elle a semblé toute dévouée à l’art et à la gloire de son mari. Plus que femme de théâtre au sens d’actrice, elle fut surtout poète. Elle joua la comédie rarement, dont une fois dans le rôle de Roxane de Cyrano de Bergerac, avec Sarah Bernhardt qui lui donnait la réplique en Cyrano. Source Wikipédia Autres Poètes
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poème de rosemonde gérard à son mari edmond rostand